À Dijon, une équipe de recherche a confirmé qu’à l’instar de l’activité physique, la stimulation des muscles par un courant électrique induit la production d’un facteur bénéfique au fonctionnement du cerveau. En décrivant les mécanismes biologiques sous-jacents, les chercheurs ouvrent des perspectives intéressantes pour les personnes qui sont en incapacité de faire du sport.